Emotions et alimentations

Bon, je repêche ce post pour éviter d’écrire ailleurs. Et puis, souvenez-vous, je suis très forte pour reprendre les vieux trucs poussiéreux !

Je reviens parce qu’il y a du neuf. Même si les choses n’ont pas radicalement changé (j’ai toujours des petites voix forts sympathiques envers moi-même) mais…j’ai enfin arrêter de m’en vouloir pour mon poids du moins.

J’ai enfin arrêter de me dire que j’étais nulle (enfin presque!!), que je pourrais faire des efforts etc etc… Que oui c’est un symptômes de pleins d’autres trucs, que oui pour le moment c’est comme ça mais qu’il existe une issue.
Ca me demande encore des efforts mais beaucoup moins qu’avant. Et vous savez quoi…ça change sacrément la vie.
Tous n’est pas gagné, et il me reste encore un long chemin pour être enfin tranquille et pouvoir réellement trouver une solution. Mais j’ai l’impression d’enfin avancer dans le bon sens sur ce sujet là en tous cas.

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Ça fait plaisir à lire ce traitement plus doux envers toi orfee :smiley:

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Merci Saralou, ça fais vraiment un bien fou d’enfin se fiche la paix !

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en gros , mon travail perso là dessus a pris 5 ans :pas de psy , mais bcp de recherches et d’ecriture (blog 10 octobre, the utoptimist…)
le progres:1 je mange a table sans me restreindre, 2 si je boulimise (émotion, douleur), je ne m’en sens plus fautive:demain est un autre jour
3 pourquoi se sentir coupable d’ailleurs quel est l’être de mes 2 qui a dit qu’il fallait plus manger ses émotions
4 fuck dickat regime, pleine conscience alimentation intuitive ,
5manger assise, sans engloutir , et mm si je me ressert ou mange plus vite , ne pas m’en vouloir
6 faire de vrais repas , et s’autoriser donner le droit de grignoter sans s’en sentir coupable
7 accepter que bouffe = béquille , que je mange mes émotion s et que que ce sera comme ca (les crises s’en sont trouvees reduites
8l’image du corps et le mien en particulier , les injonctions patriarcales a la minceur, la beaute …LE validisme ,le sexisme ,
9 le complexe vient de l’extérieur et non de mon intérieur

a ce jour , je grignote, je mange sereinement, sans ritualiser l’assiette, sans privations …comme avant 1997, et mon 1er regime
p

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oserais je dire que je m’en tape a présent, des calories, Des restrictions ,fringues trop petites ?juste le gout, la lecture, la marche , mettre le corps actif…je ne vis plus a travers un livre de regime , mais a travers autre chose …

LES PERSONNAGES QUE J DESSINE SONT naturellement androgynes, des petits crobars SANS IMPORTANCE …sauf que :ils sont devenus plus corpulents, plus feminisés, ils me ressemblent donc plus, et ont des mains, a present …les details s’affinent , c’est plus soigné aussi …

Tu as bien avancée Tombboy, je suis pour le coup en train de me rapprocher de ta mentalité, d’une certaine façon. Surtout dans le sens d’accepter la situation telle qu’elle est.

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Je grignote beaucoup pendant la journée. En fait, je ne fais que ça. Souvent par ennui. Puis j’aime un peu trop le sucre je crois. Je passe mes journées à ne rien faire. Je regarde la télé, je joue sur le téléphone à des jeux sans intérêts. Je navigue de site en site, sans véritablement de but précis. Comme si j’allais tomber sur la solution miracle dans un blog quelconque. Ça fait plus d’un an que je suis comme ça. Molle, apathique, ennuyeuse, inutile. Je n’ai goût à rien. On me parle, j’entends, je comprends mais rien ne me touche. C’est comme si j’étais dans un monde à part, déconnectée des miens, déconnectée du monde… Maintenant, mon poids me tire encore plus vers le bas. Je n’ai pas honte mais je me sens mal à l’aise. L’impression d’être une autre personne, j’ai peur du regard des gens. J’ai peur de sortir de la maison et sentir leurs regards sur mon physique. A chaque fois je me dis que j’ai touché le fond mais non, j’ai l’impression de descendre toujours, de plus en plus bas. Je n’arrive pas à parler à la psy, ni à mon mari, ni a personne. Je ne sais pas vraiment pourquoi. C’est comme si j’étais dans une boucle sans fin. Je suis fatiguée de tout ça.

Je ne suis ni médecin, ni psy, mais pour avoir co nu des symptômes du même genre (qui correspondaient a une depression) je pense que tu devrais en parler à ta psy en premier lieu.

C est des fois le premier pas qui est le plus dur à faire.

Le sentiment de vide, de ne plus avoir envie de rien à part manger, sont des signes qui doivent alerter. Après bien sûr que le piège est que plus on attend plus c est dur à se motiver à consulter, à en parler etcc, car cela nous prend de l énergie qu on a plus vraiment.

Je trouve bien que tu ais déjà fait le pas d en parler ici, n hésite pas si tu en ressens le besoin.

C’est bien une dépression et concernant la psy, hormis lui avoir dit peu ou prou la même chose, je n’arrive pas à lui parler d’autres choses. Ni à personne d’ailleurs. Je n’ai fait aucun progrès depuis que je consulte.

C est une psychiatre qui te suit ? Depuis combien de temps ? As tu reçu un traitement qui pourrait t aider à avancer dans la thérapie ?

Un psychiatre c est comme les autres corps de métier style coiffeur, faut trouver celui ou celle qui nous convient.

Salut, est-ce que le web, les réseaux sociaux te paraissent addictifs, voire être une drogue ?
C’est peut-être quelque chose que tu n’as pas envisagé.

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Bonjour Nyfa. Tu as déjà fait le pas d’écrire ici et bravo ! Effectivement l’aide d’un/une professionnel(le) paraît utile. Comme l’a dit Saralou, il faut trouver quelqu’un qui te correspond. C’est parfois difficile et parfois ils ne sont pas tous rembourser, mais ça existe. C’est jamais facile au début, et rien ne t’oblige d’entrer tous de suite dans le vif du sujet. Est ce que par exemple, tu pourrais écrire ce qui ne vas pas, tes ressentis et au lieu de devoir en parler de but en blanc avec la psy, lire ce que tu as écris?
Courage ma belle, tu vas trouver une solution qui te convient.

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Oui c’est mon deuxième maintenant, sachant que j’ai déjà fait 3 séjours en centre hospitalier. Un traitement oui pour calmer angoisse et stress, pour réguler mon humeur. Il a fallu beaucoup de temps pour trouver le bon dosage.

Bonjour, ah non je n’ai pas vraiment de réseaux sociaux. Je me sers d’internet comme d’un outil pratique, je ne pense pas avoir d’addiction de ce côté là.

Bonjour et merci pour tes mots. Oui je pourrais essayer de faire ça.

Ah Nyfa je me sens moins seule a ne pas être sur les réseaux ! Comment tu vas ? Un peu mieux j’espère.

J’inclus les forums dans les réseaux sociaux. ^^

Ah pardon…c’est vrai que j’ai la vision réductive de « réseaux sociaux = nouveaux réseaux sociaux » !!

ET Youpi YOU, TRALLAla!la principale cause de mes débordements alimentaires, c’est :ce que on dit de moi, ce que on me dit,
repris 2 fois de la mayo , ce soir, suite a une conversation sur fb comme le vendredi soir au college, je me tapais 2 maxi pain au chocolat …a cause des médisances de la semaine, ces gens de 14 ans, qui trouvaient a redire a ce que je suis vis, fait …et qui n’est pas comme eux
en 2014, a cause du voisinage, j’ai pris ainsi qqles kilos …

mais difficile de garder confiance en soi et estime de soi, lorsque on est persuade que de tte façon, on connait rien a un sujet , face a des gens qui ont tendance a nous mépriser et qui s’en foutent de nous , parce que on ne correspond pas a leur ideal …et que donc selon eux, on n’est pas legitime meme juste pour prendre la parole , et que on commence tout juste dans une cause ou un combat (en 2014:j’ai appris el mot validisme :ca m’a aide a prendre du recul par la suite a :t’es une malade imaginaire !)

en gros, j’ai pas de sous, suis aps habillée en fille, j’ai aps droit a la parole :voici ce que en 2014, j’ai clairement ressenti …
je vais qd mm pas vivre sous une grotte juste pour éviter ces a coups d’emotion!!!

L’art thérapie m’avait fait du bien: m’exprimer ET me rééduquer à l’époque car je faisais de l’agoraphobie.
Peur de la foule.
Et à l’époque: peur des gens.

Actuellement, je téléphone à SOS amitié qui sont bien.