Oui c’était au « tout début », c’est ce qui m’a permis de me rendre compte de la vrai raison des prises alimentaires. Ca a été une vrai prise de conscience.
Ca va, un peu mieux, mais j’ai l’impression d’être épuisée…ça c’est autre chose. Mais ça va, dans l’ensemble.
Tu peux aussi indiquer les cirsconstances ( lieux, personne, évènement qui a eu lieu avant)
Parfois cela permet de mettre le doigt sur des choses importantes
Ah oui ça je ne l’ai pas fait, c’est une idée. Mais bon…rien que l’idée de tout renoter…ça me hérisse le poil…
Récit d’une petite victoire…Cette aprème j’étais…chonchon…boule de stress, larmes aux bords des yeux…bref le truc pas cool. Mais surtout la situation dans laquelle, le placard devient forcément mon meilleur ennemis. Alors,…je me suis décidé à aller marcher un peu, prendre l’air, au lieu de rester scotcher sur la chaise. En revenant, un grand verre d’eau avec une goutte de sirop et un chocolat noir. Ben vi, faut compenser quand même, mais…au moins c’est pas dramatique !! Et puis un petit passage ici pour « acter » la victoire.
En marchant, j’ai réfléchis au repas de famille qui à été si catastrophique. En fait ce n’est pas tant le repas qui à été sympa en soit, c’est les conséquences pour moi qui ont entraîner le retour de la compensation par la nourriture. Le soucis c’est que des situations comme ça j’en aurais d’autre, va falloir que apprenent à les gérer.
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Bravo est génial. Et sois indulgente avec toi si tu n’y arrives pas : si tu n’y parviens pas c’est qu’il y a sûrement trop de stress, d’hormones et même de besoin physiologique du corps !
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Belle initiative que tu as eu en te changeant les idées avec la balade.
Malheureusement, il faut faire avec la famille que l’on a, parfois qui n’est pas forcément compréhensible, empathique et parfois maladroite dans ses mots soit disant pour le bien de la personne.
Il faut essayer d 'en prendre et en laisser, en parler à quelqu’un de confiance pour désamorcer la situation et pour avoir un autre angle ou tout simplement, une épaule compatissante. Cela fait du bien, d’être comprise par d’autres qui peuvent être neutre (ou du moins en partie).
Prendre du recul sur certaines situations, c’est loin d’être évident et demande une abnégation de soi très importante (perso, je ne l’ai pas encore…lol).
Je te souhaite de trouver cette force en toi qui te permettra d’être en paix avec toi-même mais aussi avec ceux de ta famille.
Je sais que tu y arrivera tout ou tard. Courage.
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Merci les filles.
Oui les situations familiales peuvent être compliqué, surtout quand tout le monde est réuni. Mais perso, on s’entend tous bien c’est pas le soucis, par contre ça m’a ramener assez violemment au début d’année et c’est ça qui est difficile à gérer. Mais j’en ai conscience, et grâce à vous toutes j’ai aussi compris des choses. Donc, j’avance et ça à quand même beaucoup moins d’impact.
C’est normal, c’est assez récent… Laisse toi du temps, ça sera moins difficile avec les années qui vont passer.
Courage ma belle !! Plein de belles pensées positives qui s’envolent vers toi.
Merci ma belle, ce qui est malgré tout positif c’est que j’ai progressé sur la compensation de ces émotions par le plongeons dans le placard. Ce qui est un grand pas en avant !
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Effectivement, tu avances vers le positif…
Salut, j’observe quelque chose chez mon fils en ce moment qui prête à réflexion sur les notions d’« aliment doudou » et de « peur de manquer ».
Mon fils aura 3 ans à la fin de l’année, je l’ai gardé jusqu’à cette semaine où il a fait son entrée à l’école maternelle. Il a un petit appétit depuis sa naissance et n’a jamais beaucoup mangé le matin (du lait entier avec un peu de cacao van Houten et c’est tout, la plupart du temps). Hier j’étais contente, il a mangé un peu de gâteau à la banane et un peu de pain beurré. Aujourd’hui, il ne voulait rien d’autre que son lait au cacao. J’ai ressenti de la déception par rapport à la veille où il avait bien mangé mais j’ai réfléchi : il voulait sa tétine. Il a très vite compris qu’à l’école il ne peut garder sa tétine aussi il essaye d’en profiter un maximum avant de devoir s’en séparer (peur de manquer). J’ai tout de suite fait le lien avec des comportements alimentaires futurs (peut-être à tort) alors je n’ai pas insisté pour le faire manger et lui ai laissé profiter de sa tétine : l’appétit ça fluctue, il y a 4 repas dans une journée et il n’a pas encore pris le rythme de l’école.
Cet exemple pour vous montrer ce qui peut se jouer dans la petite enfance.
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Intéressant ce que tu dis chapinette!
Je me rends compte que je ne l’ai pas suffisamment explicité, mais la « peur de manquer » était aussi de mon côté, je voulais qu’il mange davantage par peur qu’il ait un manque d’énergie dans la matinée.
Je me dis que le mieux à faire est de respecter son appétit, qu’il se rattrapera aux prochains repas s’il en a besoin et que les semaines passant son appétit va probablement s’adapter à sa nouvelle vie d’écolier.
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Je pense que c est une très bonne attitude !
Comme je réfléchis à cela, je vais ajouter une donnée qui me paraît intéressante.
Quand mon fils n’avait que quelques mois, ma mère m’a conseillé de nourrir mon fils chaque fois que moi j’avais faim, sur le principe du « il a faim quand tu as faim ». Je comprends cette idée de symbiose qu’elle développe par-là, mais je ne l’ai pas écoutée, à commencer parce qu’elle a allaité et pas moi, ce qui me semble drastiquement changer la donne. Ça dit quand même des choses sur sa manière d’être maman. Sur ma fratrie, on est 4 sur 5 à avoir connu ou connaître l’obésité.
Un enfant se régule tout seul donc effectivement s’il n’a pas faim à un repas c’est pas grave il se réglera sur les autres. Le seul moment où ça pose problème c’est si l’enfant perd du poids et qu’il y a une cassure dans sa courbe.
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Désolée pour le retard, mais, bon, la reprise m’a un pris du temps et de l’énergie. C’est très interessant Cha, effectivement les aliments « doudous » qui remplacent la tétine ça me parle, j’avais même entendus que l’alimentation, tout comme la cigarette pourrait être lié au « stade orale » chez le bébé.
De mon côté, ça bouge. Un ami m’a gentillement mais efficacement mis un coup de pied où il faut. En résumé et avec beaucoup plus de forme, qu’il faillait que j’arrête de me cacher (déjà là y a pas mal de chose de dites) derrière le tsunami de janvier.
Et ça fait échos à ce que je me disais à moi même en beaucoup moins sympa, à savoir que j’avais accepter la prise de poids, le refermement sur moi, l’ettouffement des émotions sous ce poids un peu trop facilement. Mais ça manière d’amener les choses m’a fait prendre conscience que oui, j’ai souffert et je souffre toujours mais, ce n’est pas nécessaire que je me cache à la fois de moi même et physiquement. Je ne dis pas que c’est facile, mais c’est au moins une grosse prise de conscience qui pique mais fait beaucoup de bien.
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Me re-voilà. Bon aujourd’hui est un constat pas cool. Retour au point de départ d’il y à 2ans… 2ans de mieux dans mes basckets et dans mon corps. 2 ans balayé en partie par le boulot, en partie par janvier. Il y à 2 ans, je me suis dis que je ne pouvais pas, plus accepter la situation telle quelle était, que je pouvais faire bouger les choses. Et me re-voilà exactement au même point. C’est un triste constat, malgré les prises de consciences, l’aide des proches et la votre. Je sais parfaitement le pourquoi du comment, je sais que je ne dois pas me focaliser là dessus, que j’ai les clés pour changer les choses. Et même si ça me rends « triste », je suis plus sereine car j’ai compris.
Ce que je voudrais…c’est avoir une baguette magique avec laquelle je puisse faire disparaître ce poids (dans tous les sens du terme). J’aimerais dire "ok c’est bon, j’en veux plus " et pouf retour à la case départ. Je sais que ce n’est pas possible, je sais qu’il me faudra du temps et de l’acceptation mais ça aussi c’est difficile à accepter.
Désolée de venir ici juste pour me plaindre.
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Parfois on a juste besoin de se plaindre. Je le fais aussi.
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C’est gentil Saralou. J’ai l’impression de ne venir ici que pour ça…