Famille toxique, parent narcissique manipulateur

Ha oui Pilgrimette, moi quand je vais chez ma mère j’ai envie de me gaver de sucreries. Je suis mal à l’aise chez elle.

C’est fou ça!
Maintenant en y réfléchissant, même avec mes sœurs ça joue, quand on fait un repas ensemble j’ai un appétit gargantuesque.

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Je pose ça ici mais je ne suis pas sure de ce que c’est exactement…
Voilà l’homme a je trouve une drôle de relation avec ses parents qui sont capables de nier totalement ses émotions, surtout sa mère. Lui il met ça sur le côté de l’éducation protestante de sa mère. Déjà je suis très septique.
Sa tante a un cancer depuis une vingtaine d’années. C’est une survivante. Avant de me connaitre il avait peu de relations avec elle et ses cousins/cousines. Une fois par an au repas de noel, une célébration éventuelle dans l’année et basta. À chaque fois sa mère y était. Donc à 40 ans il n’a jamais eu de relation direct avec sa tante, je veux dire de moments où il la voyait sans la présence de sa mère. Mais il dit adorer sa tante et c’est vrai je le vois. Du coup je l’incite à nouer une relation avec elle, directe surtout que c’est une personne adorable et adore son neveu.
Là il y a 4 semaines grosse alerte. Le cancer flambe une nouvelle chimiothérapie est tentée… qui la laisse KO en chambre stérile avec des globules blancs anéantis. Ma belle mère le sait le vendredi soir, elle ne le dira à mon mari que le dimanche soir quand il appelle comme chaque semaine. Ça me choque qu’elle ne lui ai pas dit le vendredi!
Ce vendredi là elle a eu p’tit Lu la journée et en a conclu « heureusement ça nous a remonté le moral de l’avoir eu » . Je n’aime pas l’idée que mon fils soit un remonte moral. C’est une phrase qui revient très souvent chez elle. Ce qui ressort du cancer de sa soeur c’est sa souffrance à elle, toujours.
Je ne sais pas comment expliquer mais pour tout ce qui touche à sa soeur ma belle mère est toujours là, présente. C’est quasi impossible d’avoir une relation directe avec la tante (et ça ne vient pas du tout de la tante qui ne ressemble pas du tout à sa soeur).
Là nous sommes allés voir la tante hier qui est rentrée chez elle, elle en était très heureuse.
Avec son mari ils ont une capacité énorme à ignorer les autres. Par ex mon mari est un grand blasé de noel. Il n’a jamais eu un cadeau qu’il voulait. Toujours des cadeaux chers mais à côté de la plaque. Jamais ils ne l’ont écouté, il y a même renoncé et ils font pareil pour les cadeaux à notre fils: ils se font plaisir point barre, leur plaisir passe avant tout le reste.
Vous connaissez ce genre de situation?

Est ce que ton mari est mal dans la relation qu il a avec ses parents ? Peut être que pour lui c est un ressenti différent ?

C est pas évident de supporter et mélanger les vécus familiaux. Ce qui est, à mes yeux en tout cas, important c est d entendre ce que dit le conjoint. Si lui est mal dans la relation qu il a avec ses parents ok, mais il faut se dire aussi qu il a peut être une autre manière de gérer.

Pour la tante de ton mari, je suis désolée d apprendre que son cancer repart et j espère qu il lui sera accordé encore du temps.

Mais ton mari est un adulte et s il veut avoir un lien avec sa tante en dehors de sa mère, je pense qu il peut le faire ? Sa maman n a pas le pouvoir de faire barrage aux visites et aux téléphones. Cela serait le mari de la tante qui aurait ce pouvoir mais cela je ne sais pas ce qu il en est car tu n en dis pas plus.

Sur la phrase « heureusement qu il était là, cela nous a remonté le moral » la non plus je n ai pas tous les éléments pour savoir si cette grand mère peut être toxique, mais je ne suis absolument pas choquée de cette phrase. Pendant les 2 années terribles de la maladie de ma soeur, si j avais eu un petit fils a garder, j aurais pu dire cela, je l aurais peut être formulé autrement, genre « j avais pas du tout le moral à cause des nouvelles pour ma soeur, mais la presence du petit à mis du baume sur mon coeur ».

Mais je ne suis pas à ta place et je n ai certainement pas tous les éléments, c est juste un point de vue me basant sur ce que tu as dit.

De manière générale, je pense que chacun doit gérer sa famille et que c est des sujets délicats parce que chaque famille (même non toxique) a ses soucis et des fonctionnements qui peuvent paraître étrange.

Pour l’histoire des cadeaux qui tombent à côté, ma foi je pense que c est un souci partagé par beaucoup de monde (Il me semble que certaines en avaient parlé sur le forum).

Il n’est pas à l’aise. Ils ne se disent rien, ça pèse sur lui. Là par exemple il a du lire entre les lignes que si sa tante rentrait chez elle c’est… qu’ils abandonnent tout traitement. Ça lui a fait un énorme choc quand il a compris le lendemain. Il n’ose jamais les contrarier et préfère se mettre dans des états pas possibles plutot que de dire stop ou qu’il n’a pas réussi quelque chose. Il n’est clairement pas le fils qu’ils attendaient. Ils le disent ils n’ont eu qu’un enfant car pas le temps pour 2, par contre mon beau père s’occupait très bien des gamins des autres en club sportif (mon mari n’est pas sportif).

Justement ce n’est pas aussi simple. Il ne sait pas désobéir à ses parents. Donc il est dit tacitement qu’il faut passer par elle et il s’exécute. Il a fallu que j’arrive dans sa vie pour qu’il ose entrer en relation directe avec elle. Depuis il commence à le faire et ça lui convient. Mais en fait dans son éducation il n’a jamais appris à avoir de contact direct avec aucun membre de sa famille, tout doit passer par ses parents. Et là quand il rencontre sa tante ou ses cousins/cousine c’est une avalanche de question. Il faut qu’elle sache tout. Elle fait ça tout le temps pour tout, j’ai même du me facher quand en début d’année elle m’a demandé de lui envoyer… mon planning oO

Pour ce qui est du remonte moral, ce qui me gène c’est qu’elle se victimise tout le temps. Et ça c’est une manière parmi d’autres. Et je ne veux pas que mon fils grandisse en la plaignant ou en se sentant redevable/coupable… comme mon mari qui pour le coup n’ose jamais rien dire ou faire qui pourrait la contrarier la pauvre…

C est bien de soutenir et d accompagner ton mari, tu ne peux pas faire la démarche à sa place, mais tu es la et tu l encourages à s exprimer c est déjà bien.!

Je comprends que tu te fasses du souci pour ton fils mais l influence des grands parents n est pas la même, car ils n ont pas le même pouvoir que nous les parents. C est ce que ma psy m avait dit à l époque, et cela s est avéré vrai.

Je suis embourbée parfois encore avec ma mère (seule encore vivante ) par de la culpabilité, mes fils pas du tout.

Ceux qui les ont marqués c est nous, leurs parents et leurs parcours de vie évidemment.

J’ai une belle mère (en particulier) un peu comme la tienne slow.
Le coup de l’enfant médicament, elle nous l’a fait fut un temps, on se disait que notre fils n’était pas un doliprane :joy:.
Puis on a eu notre second qui a eu ses soucis et il faut dire que ça s’est apaisé car elle a compris que ses soucis a elle n’étaient pas forcément aussi angoissants que ceux des autres. On savait qu’on devrait faire face à 2 chirurgies dans sa 1ère année et toutes les difficultés accompagnant sa fente (problème d’alimentation étant le plus dur à gérer) alors que ce qui l’angoissait c’était son travail et sa propre mère. Aujourd’hui elle est à la retraite et la grand mère en maison de retraite.
Mais il est vrai qu’elle veut toujours tout savoir, pose des tas de questions, mon mari est très secret donc elle se rabat sur moi qui suis une pipelette sans limites ou presque…, et des fois je le regrette.

Après je pense que comme le dit Saralou les relations grands parents petits enfants n’est pas la même. Mon fils adore ses grands-parents et il les fait bien tourner en bourrique :joy:

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Il y a un peu ce type de relation avec la tante de mon mari. Sa mère et elle sont très très proches, je ne connais pas ça avec ma fratrie alors je ne comprends peut-être pas bien comment ma belle-mère va accourir aux soucis de son neveu (un des fils de cette tante, qui a beaucoup de soucis), et ne bouge pas d’un iota quand mon mari aurait eu besoin de soutien (car lui se débrouille d’après elle). Le neveu en question vit en région parisienne comme nous et elles sont venues à plusieurs reprises le soutenir alors qu’elles n’étaient pas toujours les bienvenues chez lui, et ne sont même pas venues voir mon mari (ni même le frère de ce neveu qui vit lui aussi en région parisienne).

Ma mère a encore frappé… en 2 actes.
Ça a commencé il y a une semaine quand elle m’a demandé si elle pouvait venir manger chez nous. Je me suis fait violence pour dire oui. Puis pendant sa visite, elle m’a demandé si on ne faisait pas l’anniversaire de notre dernier pour une histoire d’argent. Je lui ai repondu que non, qu’on n’avait pas envie. En vérité, on ne veut pas le faire avec toute la famille à cause d’elle, qui critique constamment tout, pendant des années elle se plaignait de faire les anniversaires de mes neveux puis l’année dernière, a l’anniversaire de mon aîné elle a encore trouvé de quoi se plaindre (le dessert n’était pas à son goût alors que j’avais juste passé la matinée à le faire…bref).
Sachant les relations disons compliquées qu’on a actuellement elle et moi, je ne me sentais pas de faire un repas de famille et on a décidé qu’on ferait une sortie à la neige (s’il y en a encore) tous les 4.
Elle m’a répondu qu’on pénalisait le petit a ne pas faire son anniversaire ce qui m’a déjà énervée toute la semaine mais bref.

Et ce matin, sans crier gare, elle m’envoie un immense sms plein de reproches et de culpabilisation comme quoi elle ne me comprend pas, que mes décisions lui font du mal etc etc.

J’avoue, je suis fortement tentée de la gicler de ma vie.

Tu lui as dit, tout ça ?

Pour l’anniversaire ou bien pour le fait que je voulais couper les ponts?

Pour l’anniversaire, le problème est que si je lui dis, elle va jurer par tous les dieux que non, elle n’a jamais dit ça, n’a jamais fait de reproches, ne s’est jamais plainte. Parler avec elle c’est inutile et ça a toujours un goût d’incompréhension. Et même quand on croit qu’elle a compris, on se rend compte au final qu’en fait non.
Elle change ses points de vue en fonction de ce qu’on lui dit puis finit par nous faire des reproches.
Plus le temps passe et plus je me rends compte qu’elle est nocive.

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Tu fais plaisir à ton enfant, tu lui fais un super anniversaire. C’est son anniversaire à lui, pas un dû à sa grand mère/ à ta famille. Donc tu ne le pénalises pas du tout.
Honnêtement, avant qu’ils aient l’age des copains ce n’est pas les pénaliser que de n’inviter personne mais juste de passer un bon moment avec eux, et même après en fait selon les caractères. Par contre si elle estime qu’elle doit partager quelque chose avec ton enfant pour son anniversaire, libre à elle de lui offrir un moment/ une sortie à 2 au lieu d’un cadeau matériel…
À part ne plus laisser ses reproches t’atteindre je ne vois pas quoi faire de plus… à part effectivement l’éloigner. C’est fou ces personnes qui ne sont jamais contentes de rien et pourrissent la vie des autres. Ils ont de quoi être heureux mais non oO

Par ici ce que je craignais se confirme… mes beaux parents commencent à essayer de guider notre achat immobilier. Mais ouf l’homme ne se laisse pas faire et c’est mis en mode autiste face à son père qui lui expliquait que « franchement ça vaut le coup de s’éloigner de votre ville regarde ce mas avec 7 chambres »… pour info nous souhaitons rester citadins et 7 chambres?! 3 ça sera déjà pas mal… cerise sur le gâteau… quand son père lui expliqué qu’il fallait vérifier l’état de la charpente, non sans blague?!
.étape suivante: leur dire « foutez nous la paix on est des adultes »

A vrai dire je ne veux plus qu’elle garde mes enfants.

C’est déjà bien si ton mari arrive à faire la part des choses

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Je comprends totalement, j’ai la même à la maison (façon de parler, elle vit à 25km).
C’est usant d’essayer de parler avec ces gens-là car au final ils n’entendent que ce qu’ils veulent.

Sauf que tu as ta conscience pour toi. T’as expliqué, libre à elle d’entendre, d’appliquer … ou pas! À la limite tu rajoutes une « sanction/ préavis » et si tu fais ça alors je pars/ je dis stop". Et au moment venu tu t’en tiens à ce que tu as dit « stop tu as refait ça au revoir ». Et tu cesses toute négociation. Si elle est sourde, toi aussi…
Au fond elle compte sur ta diplomatie et ta tolérance. Définis une limite en amont et après juste tu appliques. Mais tu dois faire ce que tu dis ni plus ni moins. Ce qui est bien plus facile à dire qu’à faire…
C’est un conseil qu’on nous a donné en pédagogie et qui est valable avec tout le monde en fait: fixer ses limites et son cadre. Être bien dedans et donc l’appliquer ça oblige les autres en face à le respecter. Le plus compliqué étant alors de se connaitre assez pour définir cadre et limite. Une fois la limite atteinte sortir de la situation, se mettre en retrait comme établi. Ne surtout pas y revenir à chaud, il faut que tout le monde s’apaise.

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Bonjour, sur des conseils bien avisés, je me permets de rejoindre votre groupe de discussion pour vous partager mon expérience avec une mère toxique et manipulatrice.
J’ai 44 ans, ma sœur en a 48, et sommes toutes les deux fâchées avec notre mère depuis 4ans.
Notre mère nous a élevé toute seule et dans le mensonge. Elle était tout le temps distante, sans signe d’affection pour nous, ne parlait jamais de sa vie aussi bien présente que passée.
Jusqu’au jour où j’ai découvert, par mon géniteur, qu’elle nous avait toujours menti sur notre histoire.
En 2006, quand je lui ai appris que j’étais enceinte elle m’a prise en grippe et là ont commencé les chantages et les manipulations. Pour résumer ça m’a fait l’effet de " maman est normal et moi je ne suis pas quelqu’un de bien " pendant 10 ans je me suis contortionner pour " rentrer dans ses petits papiers " . Cela m’a créé une vraie et conséquente pathologie.
Je vous envoie ce témoignage car actuellement je m’imagine plusieurs fois dans mes journées des confrontations verbales avec elle, car j’aimerais lui dire tout ce que je pense d’elle. Mais je sais que ça n’arrivera jamais et surtout qu’en réalité la conversation n’aboutira à rien. J’ai beaucoup à sortir comme ressenti envers elle, mais je ne sais pas comment ?
Au plaisir de vous lire. Tynam.

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Il y a quelques jours : message téléphonique sur le répondeur.
Ma mère est de retour dans son chez elle avec son mari.

Elle m’appelle "sa fifille ".
Chose qui m’énerve au plus haut degré. En décembre 2019, je lui avais dit n’être pas sa poupée pansement et que je n’avais pas à l’avoir été. Je la sommais alors de prendre rdv avec un psychiatre.

Octobre 2021: cette " Maman là " serait contente à me revoir.

2003: courriers postaux ++++ où les parents quémandaient à ce que je revienne chez eux.
Époque où j’avais coupé les ponts depuis 2001.

Revenue chez eux car à la rue: acharnement hystérique à ce que … : je me suicide !
Car j’ai osé témoigner de l’inceste en 2001.

Et pour ma mère ( qui a été témoin d’un viol de son fils sur ma personne mineure), c’est pour…:

  • "l’honneur de la famille "!
    Harcèlement moral +++.
    Tout faire pour que je me suicide.
    Pour ne pas que je témoigne !

Été 2021, elle me fait parvenir qu’elle voudrait m’aider financièrement.
Ma réponse :

  • envoie moi une attestation manuscrite de ta personne, qui témoigne, qui définit, les maltraitances que j’ai connues jusqu’alors.

Jamais reçu de courrier.

Septembre 2021, je lui fais part vouloir obtenir la bague de fiançailles de sa mère.
Soit l’objet que je devais hériter en 1991 de sa mère.
Ma mère sait que je suis sans revenus.
Sa réponse : je te la donnerai lorsque je serai de retour.

Du 1 septembre 2021 environ au 26 octobre 2021: rien .

Là ?..
Cette nana là serait contente à revoir sa fifille !
Génération et conditionnement où pour elle, son dernier enfant doit lui être à son service jusqu’à sa fin de vie.

J’en ai parlé hier à mon médecin.
Je lui dis vouloir récupérer la bague.
Je la connais comme quoi, cela sera du chantage par ses conditions à elle pour.
Mon médecin me dit de récupérer la bague et de partir illico presto.

Il a sourit lorsque je lui ai dit avoir préparé un cadeau en échange de la bague. (D’après les codes de cette " famille " là)…
Le cadeau est : un miroir.

Depuis le message sur le répondeur : stress, insomnie, … +++

J’ai compris à relire et à repenser qui ils sont qu’ils ne changeront jamais.
Ce sont des " malades ", intégrés dans les codes de la société. A faire des leçons de moral. A se définir comme des références…

En 2018, un Homme de la Sécurité m’a demandée à pourquoi ne pas continuer la PJ.
Ma réponse : pour être et pour rester en vie.
Si j’obtiens la feuille A4, qui atteste mon statut de victime, le lendemain: je serai un cadavre par les autres individus de la famille.
J’ai expérimenté à pourquoi la non assistance en danger existe.
J’ai expérimenté ce qu’est la république française lors de la PJ.
J’ai découvert par moi moi-même tous les non-dit que les médias devraient informer.

Je sais désormais qui est qui.
J’ai été leurrée.
Volontés d’être en vie et de le rester.

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Bonjour Tynam,
J’ai 39 ans et une soeur de 45 ans. Je suis mère. J’ai coupé les ponts avec ma mère depuis 1 an pour me permettre de gagner en distance émotionnelle et pouvoir travailler accompagnee dun professionnel sur la relation toxique qui a engendré une pathologie chez moi (faible estime de soi, attaques de panique) et que je traînais depuis longtemps sans en reconnaître l’origine de façon consciente. Ma soeur a coupé les ponts depuis 10 ans avec elle, nous sommes par ailleurs toutes deux unies. Je me reconnais dans l’image de « contorsions » pour plaire. Et dans votre appel :
« Je vous envoie ce témoignage car actuellement je m’imagine plusieurs fois dans mes journées des confrontations verbales avec elle, car j’aimerais lui dire tout ce que je pense d’elle. Mais je sais que ça n’arrivera jamais et surtout qu’en réalité la conversation n’aboutira à rien. J’ai beaucoup à sortir comme ressenti envers elle, mais je ne sais pas comment ? »
Ce sont des ruminations anxieuses que je connais très bien malheureusement.
J’ai eu cette occasion « inutile » car elle me harcelait pour m’empêcher de prendre cette distance. J’etais terrifiée à l’idée de vider mon sac à quelqu’un qui nie l’histoire. Je l’ai appelée , ce fut effectivement à sens unique, mais j’ai compris que l’important ce n’était pas qu’elle y "croit " mais que j’avais pu dépasser ma peur et m’exprimer. On m’a souvent aussi conseillé d’écrire à soi même ce qu’on voudrait dire, c’est libérateur et permet de mieux de recentrer.
Je conseille la chaîne youtube « l’audace d’etre soi » que je trouve très intéressante pour expliquer les comportements toxiques, l’enfance avec des personnalités avec trouble narcissique,
Et je partage l’intérêt que j’ai pour une nouvelle lecture prochaine : avoir le courage de ne pas être aimé Kishimi d’après la théorie d’alfred adler.
Si vous êtes intéressée pour un soutien de développement personnel je suis disponible.
Bon courage à vous.

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Bonjour, Merci pour votre témoignage, cela permet de se sentir moins seul.
Qu’entendez vous par développement personnel ?
Depuis mars 2017 je pratique la méditation de façon régulière, c’est cela qui m’a permis de voir les choses plus claires. Sinon je consulte coup ci coup ça des thérapeutes énergétiques ou médium pour aller mieux.
Je serai intéressé de savoir plus sur votre méthode :blush:

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Un livre qui m’a permis d’avancer, et de réaliser que ce n’était pas moi « La malade » mais ceux qui voulaient que je sois définie comme telle.
Le livre est:
" Le Harcèlement Moral" de Marie France Hirigoyen.

Livre explicite.
Livre qui définit, avec des termes non médicaux mais des termes français, accessibles à tous et à toutes, sur ce qu’est la psycho pathologie du « pervers narcissique ».
Une pathologie qui existe chez l’homme comme chez la femme.
Dans tout secteur professionnel.
A tout niveaux de la société question « classe sociale ».

Définir, identifer, est un premier pas essentiel pour continuer d’avancer.

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