Enfanter ou non?

J’ai choisi de ne pas fonder une famille.
C’est grâce à mon thérapeute à mes 27 ans qui me l’avait fortement déconseillée.
A l’époque: je n’étais pas prête pour.
Il me fallait vider mon sac de mon passé d’alors.

Aujourd’hui?..
C’est 20 ans plus tard.
Je lui suis reconnaissante de me l’avoir dissuader!!

En 2018, un homme m’a demandée à pourquoi je suis seule, sans enfant, sans conjoint.
Il était perplexe.
J’étais perplexe de sa question.
Car question insistante, tel un enquêteur qui a le besoin de comprendre.
2020?..
Rebelote.
Hébétude que j’ai choisi à ne pas enfanter.
Hébétude que même si je le pourrais aujourd’hui physiologiquement: je suis contre.

Pour ma part:

  • hébétude de question comme:
  • oui mais, il y a 20 ans: c’était il y a 20 ans!!! Aujourd’hui, pourquoi vous ne voulez pas être une maman.
    Ma réponse alors:
  • j’ai 47 ans.
    Mettre au monde un futur nouveau-né alors que j’ai 47 ans n’est pas un cadeau pour lui/elle, mais l’équivalent d’un poids pour lui/elle à porter et à grandir avec pour son futur.

Je constate qu’une femme « seule » doit se justifier à pourquoi elle est « seule » à dire : sans enfant.

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C’est vrai qu’il est encore compliqué pour les gens de comprendre qu’on ai pas forcément envie d’enfant, ou de fonder une famille. Je connais une jeune personne qui souhaite passer par une opération définitive car elle ne veux pas d’enfant, ne s’en sent pas capable, ni n’en as envie. On a discuté de sa difficulté à faire accepter son choix au corps médical d’autant plus qu’elle est très jeune.

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Vaste sujet @ClapotementsFurieux !
Tu as raison de suivre tes désirs, tes principes.
Peut-être qu’un jour tu changeras d’avis mais peut-être pas!
Pour les hommes,les femmes sont faites pour avoir des enfants, c’est inné,c’est comme ça!
Mais non en fait !

Quand Chimène badi a sorti la chanson suivante, j’ai senti un poids en moins, je ne saurai dire pourquoi. Ça m’a permis d’en discuter avec mes copines.
Elles me disent qu’elles se sentiraient vides sans enfant mais moi je me sentirais plutot comme une poule pondeuse (attention je ne veux blesser personne hein :joy:). Je n’ai pas besoin d’un enfant POUR L’INSTANT pour remplir ma vie. Elle est déjà bien heureuse et remplie.

J’ai clashé avec ma mère il y a quelques mois car elle me posait sans cesse la question, en devenait méchante,mêlait mon compagnon à ça et surtout se rendait malade. Elle était préoccupée par le fait qu’elle ne serait pas mamie alors que je n’ai jamais dit ça. J’ai même fini par croire qu’elle me cachait un truc grave qui allait écourter sa vie genre cancer. Bref elle ne voulait pas m’écouter. Ça aurait été quelqu’un d’autre j’aurais coupé les ponts parce que j’ai pris le parti depuis très longtemps de me séparer des personnes nocives.

Mon compagnon a eu du mal à réagir parce qu’il ne comprenait pas ma colère,ma tristesse, ma déception. Ça a réveillé des choses entre nous et en même temps ça nous a permis d’en parler. Il a fini par recadrer ma mère en lui disant que c’était NOTRE choix et pas le mien alors que ça vient vraiment de moi!
Ça m’énerve aussi d’entendre « c’est sans doute parce que tu n’as pas trouvé la bonne personne ». Non en fait c’est un truc qu’on sent au fond de nous!

Et puis mon père un jour a reparlé de ça devant moi et a dit : il faut mieux avoir un enfant tard que trop tôt! Et là je me suis sentie comprise.

Au final aujourd’hui par rapport à il y a quelques années, je n’en veux pas plus mais si ça arrivait, je serais prête. Donc ba peut-être qu’un jour je vous ferai un post ici :joy:

Voila les paroles de la chanson : Juste une femme.

Le monde se réveille et je ne l’attends pas
Un nouveau jour se lève et pas de vide en moi
Il ne me manque rien ce n’est pas un enfer
Je suis juste une femme je ne suis pas une mère

Les années passent et les saisons défilent
Leur question me lasse laissez-moi tranquille
Pourquoi c’est si grave si je ne veux pas en faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère

Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde

Je n’aurai pas de regrets je ne me sens pas coupable
Je suis déjà comblé deux assiettes à ma table
Je vous laisse la poussette, les biberons et toutes les premières
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère

Et puis toutes ces remarques, ces regards, ces avis
Laissez-moi être libre de ne pas donner la vie
Pourquoi c’est si grave si je ne veux pas le faire
Je suis juste une femme, je ne suis pas une mère

Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien, ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde

Je ne ferai pas semblant pour moi il y a pas de problème
Je suis libre comme le vent, heureuse et moi-même
Et quand viendra le moment où le temps qui passe s’emmêle
Je leur répondrai sûrement

Et quand je vois le monde, je ne trouverai jamais le sommeil
Si je devais surveiller mon ombre
Il ne me manque rien ma vie est déjà si belle alors
Je ne rentrerai pas dans la ronde

Je suis juste une femme je ne suis pas une mère

Source : LyricFind

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A mes 27 ans : j’avais des envies très fortes de fonder une famille, avoir un homme et des enfants de lui.

J’ai fait le deuil pendant bien 3 années à ne pas être maman « tout de suite ».

Par la suite, volontés d’alors à persister « à vider mon sac », mais sans pour autant alors à vivre le deuil de façon aussi dure, à ne pas fonder ma famille.
Je découvrais alors, l’équivalent d’ « une Naissance ».
Celle de ma Personne à pouvoir mettre à plat mon Passé d’alors.

J’ai compris bien après, à pourquoi j’avais eu des envies très élevées à fonder une famille avant la thérapie !!!

A l’époque: mon passé était un Poids.
Inconsciemment:

  • volontés sûrement à l’époque de découvrir le fait d’être enceinte; pour ensuite, découvrir le fait de pouvoir être maman; qui devait aussi être, …
    Volontés de me créer une identité qui était celle de « Maman » et de « Femme-Epouse ».
    Soient l’équivalent de « deux statuts » à construire et à maintenir.

A l’époque, je fuyais mon Passé, et je n’avais pas conscience de ne jamais avoir pu créer, élucider l’Identité de ma Personne d’alors.
Je ne savais pas du tout assumer ma personne et m’assumer comme « une Femme Adulte ».
A 27 ans, j’étais, sans le savoir, l’équivalent d’« une Femme-Enfant ».
Je n’avais pas pu me développer alors pour être mature, adulte à compter de ma majorité.

C’était inconscient.

Sans le vouloir: j’aurais reproduit le schéma de ma mère…

J’aurais fécondé dans une aspiration inconsciente à mettre au monde des enfants qui seraient alors devenus « des enfants-pansements ».
Ceci malgré eux.
Soient des enfants qui auraient eu pour rôle de panser mes plaies relatives à mon passé.

Je suis contente aujourd’hui de ne pas avoir perpétré les évènements familiaux.

Lorsque j’en avais 27 ans: j’en étais dans l’inconscience la plus absolue.

A l’époque de ma mère: il était interdit pour une femme de ne pas être une femme au foyer.
Repères psycho rigides fortement élevés.
Il fallait se marier, avoir des enfants, ne pas travailler pour élever ses enfants.

A mon époque et à mes 27 ans:
J’aurais sans le vouloir effectuer de même.
Car à l’époque: je n’aurais pas osé dire non à la famille dont je suis issue.

A mes 27 ans: volontés extrêmement fortes de Fuir les Souvenirs de mon Passé/Flashbacks.
Fuir était très fort!!!
C’était tel un appel au secours pour connaître du Nouveau et pouvoir alors Fuir mon passé…
Tel une idéologie.

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En 2019, mon oncle m’a questionnée à pourquoi je n’ai toujours pas d’enfant, etc …

Mon oncle était un homme « rentre-dedans ».
Un homme de caractère, entier, fonce-dedans.
Il avait ses principes à lui.
Il lui était interdit que ses principes à lui, ne soient pas pris en compte.
Il était en accord avec lui même.
Il assumait très fortement ses principes à lui.
Il était entier.
Il était colérique, coup de gueule.
Il n’acceptait pas du tout la frustration.
Il était un chef de famille à la mode 1700 ou 1800 ou 1900.
Il commandait et avait toujours commandé.

Ma réponse d’alors:
« Je n’ai pas encore rencontré le bon papa pour mes futurs enfants ».

Il a essayé de me persuader à me marier pour avoir des enfants.

Réponse automatique en boucle, en 2019:
« - Je le sais.
Il y a que je n’ai pas encore trouvé le futur bon papa pour mes futurs enfants. »

Il en était chamboulé.
Il arrive à accoucher à pourquoi il lui était important à ce que j’ai un ou des enfants…
C’était pour que son « nom » perdure.
Le nom de la famille.
Son nom étant le patronyme de la famille.
Je lui ai répondue, telle une automate stupide:
" je n’ai pas encore trouvé le bon papa pour mes futurs enfants. Pour ce qui est que le nom de famille perdure, c’est à ton neveu à qui tu dois t’adresser. Car moi: si je me marie, le nom de la famille n’existera plus/ne perdurera plus…" Aussi, rassures toi, si je n’ai pas d’enfant, cela ne sera pas un problème pour le nom de la famille. Que je me marie ou que je n’ai pas d’enfant, cela revient au même pour ce qui est le nom de la famille."

Le terme « papa » et non « père » était volontaire de ma part.
J’adoptais le personnage de:

  • « la gentille petite fille candide qui voudrait bien faire… »
    Soit l’équivalent d’un vocabulaire d’une enfant obéissante et donc éduquée à être stupide.
    Pas le vocabulaire d’une adulte qui affirme son opinion.
    Dans la famille, soudure tacite de beaucoup:
  • pour ne pas que mon oncle sache de ce en quoi j’ai connu étant gamine de son frère, soit de mon « père-géniteur ».
    Il l’aurait su qu’il lui aurait été interdit d’admettre qui est son frère et en quoi.
    C’est une famille de macho.

Dans la culture des machos:

  • les hommes auraient tous les pouvoirs, la femme leur devrait la soumission. C’est un registre d’origine lointaine et qui perdure encore et encore.
    Dans le culte du macho: il serait interdit qu’un homme ait tord.
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@Orfee Il y a ce groupe sur FB https://www.facebook.com/groups/sterilisation.volontaire qui pourra peut-être lui recommander un praticien safe (peut-être qu’elle connait déjà le groupe, je donne le lien au cas où)

Pour ma part, je ne veux pas d’enfants, je n’en ai jamais voulu et plus je vieillis, plus j’ai du mal à comprendre qu’on en fasse (qu’on en fasse, pas qu’on en veuille). Heureusement pour moi, c’est un élément qui ne soulève pas de débat parmi mes proches (et encore heureux parce que ça ne les concerne pas) et je coupe court à toute conversation qui dévie sur les conneries habituelles « tu verras quand tu seras avec la bonne personne », « mais c’est égoïste » gnagna.

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Merci Celia. je lui en parlerais.

Je crois que personnellement, j’ai toujours pensé que je serais maman. Ça a été naturel, et on était d’accord avec mon mari sur le fait qu’on voulait des enfants, un voire 2, pas plus.

On a eu du mal à avoir notre 1er, ça a été une réelle souffrance, chaque cycle qui passait était source d’angoisse. Quand je suis tombée enceinte, j’ai et des angoisses énormes, en tête : choper la listéria. Je me suis énormément privée pendant ma grossesse.
A mon accouchement, ça a été la catastrophe : j’étais pétrie de grosses angoisses, le séjour à la maternité à été un véritable enfer au point que j’étais persuadée que mon fils ne survivrait pas 1 mois (j’avais décidé de l’allaiter et les puéricultrices me disaient qu’il ne prenait pas assez aux tétées ). A ses 1 mois j’ai entamé une psychothérapie, j’ai vécu avec littéralement la boule au ventre nuit et jour pendant plus de 6 mois. Bref, tout ça pour dire que la maternité, chez moi, ce n’était pas inné. D’ailleurs, on dit qu’on ne naît pas maman, on le devient.

Maintenant, je crois que chacun vit avec ses convictions profondes. Je respecte qu’on ne veuille pas d’enfants mais j’ai du mal à concevoir qu’on dise qu’il ne faut pas en faire non plus. Puis quoi aussi?
Mes enfants sont clairement des petites purges parfois mais ils sont des sources de joie et j’aime les rendre heureux, me dire que j’ai au moins fait cela pour eux.

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J ai toujours voulu des enfants, pourquoi j en sais trop rien, il y avait je pense un vide affectif à combler , une envie de me reparer aussi en elevant mes enfants d une autre maniere que celle dont j ai ete elevee, par ailleurs, je me suis toujours sentie bien avec les petits enfants.

Mais Je pense qu on ne demande pas à quelqu un pourquoi il en veut, donc on a pas à demander à quelqu un pourquoi il en veut pas.

Mon choix de faire des enfants, les seuls qui ont pu porter un regard la dessus, ou à qui j ai laissé ce droit, c est mes fils. Les autres pensent ce qu ils veulent mais ça me touche pas trop.

La maternité à été source de grande joie pour moi, sans aucun doute, même si cela m a valu des nuits sans sommeil, pas pour les mêmes raisons quand ils étaient petits ou grands c est sûr.

Pour moi, clairement, dans mon parcours de vie, mes fils ont donné un sens à ma vie, une raison de vivre. Sachant cela j ai fait un gros travail thérapeutique quand ils etaient petits pour alléger tout cela.

La marraine de mon second fils n a pas d enfant et n en a pas voulu enfin je crois, je ne lui ai jamais posé la question du pourquoi comment , j estimais qu elle en parlerait si elle avait envie.

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À 45 ans je n’ai pas non plus d’enfant, pourtant c’était dans mon projet de vie, j ai eu une relation sérieuse de 14 ans et à priorie mon corps me permet encore de créer la vie.

La pression sociale sur les femmes pour être mère est gigantesque, à tel point que les gens s’imaginent que si on est pas mère c’est obligatoirement que quelque chose cloche chez nous.
Et quand bien même ce serait le cas, cela ne les regardes pas !

Nous n’avons pas à rendre des comptes ni à nous justifier.
D’autant que c’est quelque chose de très personnel, cela peut être un choix, cela peut aussi être lié à quelque chose de douloureux et une grande tristesse.

Peu importe les causes volontaires ou non, cela nous regarde et j’avoue personnellement que j’ai de plus en plus de mal à accepter les intrusions des gens qui se permettent d’imposer leur vision social et de projeter sur nous les femmes cette pression.
Bref je réponds quand même la plupart du temps mais cela dépend de qui vient la question et des circonstances.

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J’ai 30 ans et pas encore d’enfant et dans mon cercle d’amies nous sommes toutes à ce niveau ce qui me fait me dire que au final c’est dans la moyenne lol.

Il y a qq années je ne voulais vraiment pas d’enfant genre jamais niet Nope. Avec le temps j’ai changé d’avis et je me dis que même si ce n’est pas forcément ma priorité ni mon rêve dans la vie je serai contente d’en avoir. La situation actuelle fait que chaton est plus frileux que moi et on se dit qu’on attend un peu de voir comment ça évolue.

Je pense qje j’avais des sujets à régler avec moi même avant de me dire que je pourrais avoir des enfants. Maintenant je me dis surtout que j’aurais peur de rater leur éducation et qu’ils où elles deviennent des abrutis…

Ma maman me posait des questions sur le sujet mais je sais aussi que il n’y a rien d’intrusif ou malveillant dans sa question pour le coup c’était plus informatif. Elle sait très bien que si elle devient inquisitrice je l’enverrai bouler. Donc même si elle souhaite voir des petits enfants elle prend son mal en patience et me lache lol :joy:
(On a pas tjrs ce qu’on veut dans ma vie haha moi je voudrais me marier chaton non voilà)

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J’ai 47 ans, et je n’ai pas d’enfants.
D’aussi loin que je me souvienne, cela n’a jamais fait partie de mon projet de vie. Je n’ai pas d’attirance pur les enfants en général, même ceux de mes amies proches je n’ai jamais voulu m’en occuper.
A l’aube de mes 38 ans, j’ai subi un deuil très douloureux. Et allez savoir pourquoi, j’ai décidé à cette époque de céder aux sollicitations de mon conjoint et d’accepter d’avoir un enfant. Les choses ne venant pas, nous avons engagé des examens et j’apprend, à presque 40 ans, que je je suis stérile. Ironie du sort.
La nouvelle n’a pas été si facile à accepter car elle touche à quelque chose de très intime, de l’ordre de l’intégrité physique, de la différence fondamentale. Cela a été plus difficile encore pour mon conjoint qui a du faire le deuil de son désir de paternité.
Notre couple a traversé une grave crise mais nous sommes malgré tout toujours ensemble.
J’ai donc coutume de dire que , selon les termes anglophones, je suis à la fois « childless » et « childfree ».
Mais comme je ne regrette pas de ne pas avoir mené à terme ce projet d’enfants, je penche plutôt du coté des Childfree.

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Pas évident comme situation effectivement @Sun-Spirit !
Comment le vit ton compagnon aujourd’hui ?
C’est généreux de ta part d’avoir pris part à son projet car tu as du beaucoup enduré entre les examens et le reste!

Les gens plus modérés me disent souvent qu’il faut prendre en compte le fait que parfois quand le déclic vient et qu’il vient tard ça ne fonctionne pas du premier coup voire pas du tout :disappointed: et que ça peut-être difficile à vivre.
Ça m’a fait réfléchir.

Déjà je sais que comme les médecins aiment dire, « nous sommes compatibles » . J’ai compris en me posant vraiment sur la question, pourquoi je n’étais pas prête,qu’il y a une part de rationnel et une part d’irrationnel.

Pour le rationnel, j’ai réussi en partie à prendre du recul et à exprimer mes craintes. Pour l’irrationnel bin c’est encore autre chose :joy:

La question me revient intérieurement à chaque fois qu’une copine qui a la tête sur les épaules m’annonce son projet . J’arrive même à me dire qu’à partir de quelques mois un enfant peut devenir intéréssant :joy: et le lendemain je me dis que non en fait !
Mon compagnon contrairement au tiens @Sun-Spirit ne me relance pas sur le sujet. Il dit qu’il attend que je sois prête et je crois que justement c’est ce qui ne m’aide pas. Je préfèrerai presqu’il me demande sérieusement !

Alors peut-être que le jour où je serai prête ça prendra beaucoup de temps mais au moins je le voudrai vraiment et je saurai pourquoi je me battrai!

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C’est exactement pareil pour moi.
Après, je ne lis pas dans l’avenir, qui sait qui ça ne me traverserait pas l’esprit si j’avais un compagnon, par amour et pression sociale, ou si mon « horloge biologique » ne se réveillerait pas subitement… Mais honnêtement, je doute enfanter un jour. ça peut sembler horrible à entendre pour certaines, mais ça ne fait juste pas parti de mes centres d’intérêt, j’ai vraiment pas envie. Je pense que je vivrais ça comme une contrainte, et je communiquerais sans doute accidentellement des névroses.

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Je ne trouve pas que cela soit horrible de dire ce que tu dis.

Et c est effectivement une contrainte, ta vie change complètement.

Simplement que dans la vie de certains cette contrainte peut être positive, pour d autres cela peut être mal vécu.

Sans choquer personne j espère, je voudrais faire l analogie avec prendre un chien par exemple. Même si bien sûr C est pas le même lien et que c est plus facile de s occuper d un chien que d un enfant, il y a des contraintes, ta vie n est plus la même.

Mais il y a toujours une balance, si ces contraintes au final t amènent plus de positif, tu ne les vis plus comme des contraintes, mais comme des choses qui doivent se faire et tu t attaches à tout ce que ce chien t apporte comme bonheur dans ta vie.

D ou le nombre d abandon d animaux je pense.

C est pour cela que je pense qu on a pas à se justifier sur un désir ou non d enfants.

On est pas une meilleure personne en ayant des enfants ou pas.

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Tout comme @Saralou l’a très bien mentionné, il n’y a rien d’horrible.
Je trouverais ça bien pire à mon sens de se sentir obligé d’avoir des enfants pour de mauvaises raison, comme la pression sociale ou la pression du compagnon ou autre et que cela crée au final plus de souffrance pour toi comme pour l’enfant et au final rien de bon n’en ressortirait donc non @Frenchiefreak tu ne dis rien d’horrible c’est très sain d’esprit cette réflexion je trouve.

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Merci les filles, vous me rassurez.
Je me trouve pas du tout anormal, c’est juste que certaines personnes ne semblent pas vouloir comprendre cette absence de désir de maternité, et ce manque d’intérêt pour les enfants, comme si on était un grinch ^^

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:smiley::smiley::wink: (20 caractères )

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child free:comment elever , nourrir, eduquer un enfant, en Etant hyperacousie ?

lorsque l’hyper se declare une fois parent , c’est deja extrement difficile auditivement !

sans compter que l’enfant faut le faire , et suivre la grossesse(salle d’attente, machinerie medicale, trajet :tt ca = bruit ), 9 mois ds le ventre, c’est un bruit en plus (son coeur )

hyper, on est parfois en precarite …

enfin, un passif trop elevé familial, trop d’antecedant,s, non, decidement,c’est ma responsabilite de femme de en pas faire un gosse, qui serait malheureux plus tard

si la pilule du lendemain n’avait pas existé (capote craqué), je serai passe a l’avortement sans cas de conscience ;je en supporte pas auditivement les cris d’enfant, les jeux

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5 enfants dans la fratrie, on est que 3 à avoir des enfants et ça va rester comme ça a priori, ma soeur célibataire à 48 ans et mon petit frère qui n’en veut pas pour des raisons écologistes.

Mon enfant m’apporte du bonheur et en ce moment je peux dire que c’est génial. J’ai fait une dépression plus jeune car je pensais ne jamais pouvoir devenir mère (enfin je ne l’avais pas compris, à l’époque).

Je vais m’arrêter à un seul pour des raisons de santé mais je peux dire qu’on a également des remarques quand on fait un enfant unique.

Je m’interroge sur ce qui semble être une surreprésentation des childfree ici par rapport à la moyenne nationale.

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