Votre définition, compréhension selon vous de ce que veut dire ... :

« Pardonner ».

Ce soir?..
J’entends une discussion de personnes qui parlent sur le concept de ce qu’est le « diviser pour mieux régner ».
Une tactique que des chefs utilisent comme un de leur outils.
Ici?..
J’entendais parler d’une personne qui relatait avoir été victime de cette tactique qui a existée dans sa famille.

Je me mêle à leur discussion.
De là, elle me dit qu’il faut qu’elle arrive à pardonner à sa famille.
Je lui réponds alors à:

  • qu’est ce qu’évoque pour elle le pardon?..
    A l’entendre sa conception de ce qu’est le pardon, je comprends n’avoir pas du tout le même ressenti , la même compréhension que veut dire ce terme là.

Aussi?..
Je me tourne à vous.
Qu’est ce qu’évoque pour vous ce qu’est le pardon.
En quoi ou pourquoi pour certain, pardonner est utile?

Ecrivez.
Sans ressenti aucun de jugement.
Toutes les façons d’exprimer sa propre définition, au sujet de ce mot là « pardonner », sans se sentir jugé, est une opportunité pour tous, pour comprendre au mieux ce terme là.
Plus la participation est grande et diverse, plus elle est la bienvenue.
Je me dis que plus il existe des réponses diverses, plus il est riche pour nous tous de ce en quoi veut dire ce terme et à pourquoi pour certain, pardonner est utile.

Pardonner, c’est signer un chèque en blanc à l’autre pour qu’il puisse recommencer. Définition abrupte mais maintes fois constatée.

Outre le fait que certaines choses soient impardonnables (mais que néanmoins, ça n’est pas donné à tout le monde de savoir tourner la page), quand il est envisagé, le pardon ne vaut que lorsque l’offenseur exprime un repentir sincère et tangible par rapport à ce qu’il a causé à l’offensé.

Pour ce qui est de l’utilité du pardon, chacun verra midi à sa porte. Il y en a qui en ont besoin, d’autres (tel que moi) pour qui ça n’a aucune importance ni incidence sur l’existence.

Quant au règne par la division, je ne connais personne qui ne s’y soit pas adonné un jour ou l’autre, consciemment ou non…

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Cela me fait du bien de te lire.
Pour ma part, j’ai intellectualisé beaucoup pour comprendre au : pourquoi est ce que j’ai vécu ceci, plutôt que cela?

Je pense beaucoup au triangle de Karpman (/ ou Karpmann?) qui symbolise le triangle du drâme.

J’ai exprimé il y a un an à un médecin mon ressenti sur le sujet du pardon. Ressenti, équivalent au tien.

C’est hier où, pour la personne du bus, pardonner était pour elle: « l’équivalent d’un lâcher prise ».

J’avais constaté l’équivalent d’une injonction culturelle, depuis petite, au sujet du pardon, où :

  • « Il faut pardonner. Sous peine de quoi, cela ne serait pas gentil »…

Pour moi, l’équivalent de pardonner est de :
« Devoir tendre » l’autre joue une fois le pardon effectué, « pour être », « de nouveau », « giflée ».
Puis, « devoir » : « re-pardonner » ensuite,
Par la sommation de l’injonction culturelle.
« Pour être », de « nouveau giflée », …
Etc…

Soit le même ressenti que le tien, illustré par « le chèque en blanc ».
Je te remercie très fort!!!

Je suis contre ce concept, de « cette injonction culturelle » où :
« - il faut pardonner. Sinon?.. Tu n’es pas gentil/gentille. »

J’ai expliqué au médecin d’il y a un an, que je suis contre:

  • cette obligation / sommation psychique, « à devoir être maso », ceci, en « devant pardonner », alors que?..
    « Mes viscères en sont bigrement, totalement : contre. »

Pour ma part?..
Mon concept est : d’apprendre à être honnête avec moi même.
Authentique.
Et, être: adulte.
Adulte est d’assumer ses paroles et ses actes.

Ce n’est pas à la personne blessée, de souffrir.
Une personne blessée n’a pas choisi de souffrir.
Elle n’a aucune obligation « à devoir pardonner » parce que : blessée.
C’est à l’offenseur/l’offenseuse d’être impacté d’avoir été/d’être: un offenseur/offenseuse.

La personne « maso » est une personne qui choisit de façon délibérée, à être maso, dans le concept du « sado masochisme ». Soit?.. Une personne qui dégagerait du plaisir à souffrir. Soit une personne qui est dans son choix délibéré à souffrir.

Une personne:

  1. blessée,
  2. qui n’est pas maso,
  3. qui est contre le concept à être maso,
  4. et qui doît connaître la sommation culturelle basée sur la culpabilité ou bien le risque d’être stigmatisée de ses proches:
  • n’est pas obligée du tout à pardonner à l’offenseur.

Je perçois cet acte de pardon comme la clôture d’un cheminement personnel long et jalonné d’étapes psychiques après un bouleversement existentiel.
Et finalement c’est une clôture plutôt élégante, elle fait prendre de la hauteur.

Mais il n’y a pas d’injonction à pardonner, d’ailleurs je ne pense pas qu’il y ait une dimension divine ou mystique dans cet acte, ce n’est pas réservé aux super héros ou aux martyrs malgré le fait que le sujet soit traité dans la religion catholique (peut-être dans d’autres religions mais je ne connais pas le sujet) et dans la culture du cinéma hollywoodien (le héros qui sauve aussi le vilain), c’est juste un acte qui devient nécessité personnelle dans certaines circonstances, quand le choc vécu a tellement ébranlé la vie de la victime qu’il n’y a pas d’autre issue finale que le pardon, pour sa survie mentale et être en paix avec soi. En bref, c’est un acte subi même si longuement avisé, combattu et prémédité par le cheminement psychique. Un peu comme lorsqu’on dit à une personne gravement malade qu’elle est courageuse, alors qu’elle n’a pas l’impression de courage mais de simplement subir les événements et son instinct de survie.

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Effectivement, c’est bien de mettre ça sur le tapis. Combien de personnes pardonnent, sans vraiment le vouloir, pour avoir la paix, pour être libérées d’un « poids » (alors que c’est elles qui ont subi), pour ne pas perdre l’autre, qui n’a vu aucune offense dans son acte, parce qu’il a estimé que tout ça n’était pas bien grave ? Le chantage affectif est une forme très courante de domination, chez les jeunes et les moins jeunes, où l’un subit des choses qui ne sont pas si anodines que ça, et là encore, cette domination est exercée consciemment ou inconsciemment ; tout ça rentre dans la case du « lâcher prise » pour être tranquille, pour conserver un semblant de vie normale, pour ne pas perdre un proche qui se sentira vexé, etc.

A Chapinette:
Je comprends maintenant à pourquoi la personne du bus parlait d’un « lâcher-prise ».
Soit, l’équivalent d’un « tourner la page et passer à autre chose ».

A Prax:
Le chantage affectiff existe.
Il existe pas mal de type d’offense.
L’offense que j’ai à travers la gorge, est : « la langue de bois »/« foutage de gueule ».

PS:
Je ne sais pas pourquoi: difficulté à pouvoir valider mes réponses.
Là: occasion pour.
Sinon, la touche « répondre » est absente, la fenêtre pour répondre prend totue la place et la touche « répondre » n’existe pas, donc: incapacité à valier mes messages.

Un truc récent qui me fait du bien:

  • avoir coupé les ponts avec la famille, de façon directe et indirecte, à 100%.

Résultat?
Sollicitation téléphonique sur mon répondeur de personnes, en qui j’avais confiance « avant », que j’ai réalisé, « depuis peu », m’être trompée.
Je les « découvre » de plus en plus via leur message téléphonique: où elles sont dans un chantage mêlé à une soit disant inquiétude pour moi, puis à des aveux pour l’une d’entre elles. Elle avoue quelque chose et demande à ce que je la contacte pour que « l’on en discute ». Je n’ai rien à lui dire.

Ma réponse:
Silence.
Absence.
Soit <=> équivalent d’un travail psychologique pour elle de remise en question par effet de « miroir » de son conscient à son inconscient.
Autrement dit : qu’elle assume qui elle est et en quoi.
Ce qui est impossible à mon sens: c’est viscérale pour elle qu’elle puisse avoir raison.
Syndrôme de « Munchausen » (je crois qu’il s’écrit de la sorte) où le prédateur prend la casquette, par la suite, du victime martyr, ceci: lorsque sa proie fait, dit, :« stop », en l’ayant défini au préalable à pourquoi.
La remise en question pour elle est de l’impossible.
Pour elle: il est interdit à ce qu’elle ait un défaut offensant sans scrupule aucun, …

Pour l’autre: aucun scrupule aucun aussi …
Volonté de transfert pour elle à « ce que l’on en parle ».
Une solution pour elle est de consulter un médecin psychiatre.
Refus de lui être: « sa poupée pansement ».

Je les découvre.
Via les messages sur le répondeur.
Plus de scrupule à couper les ponts.
Je n’ai rien à perdre mais tout à gagner de couper les ponts avec ces personnes.
Déclic.
Vérité-Réalité.
Deuil.
Construction maintenant.
Pour le pardon = non.

Prise de conscience que j’écris un exemple sur du chantage affectif!!..
Merci Prax !!!
Je n’avais pas identifié cette blessure par son nom.

Dans la pièce de théâtre « Ramsès II »: écrite en 2017!!!
Impression de voir in vivo le copié collé de la famille dont je suis issue !!!

J’ai coupé les ponts.
Rien à perdre.
Tout à gagner.
Et liberté et oxygène pour me construire !!!

La toxicité familiale et un pardon qui peinera à être envisagé puisque là aussi, aucun membre de la famille ne reconnaîtra l’offense. Puis, du non-pardon on passe à la culpabilisation, car c’est mis en avant depuis la nuit des temps : les liens familiaux sont plus forts que tout, il est impossible de se brouiller définitivement avec les siens sans en subir la responsabilité. On pourra noter quand même qu’il n’y a pas qu’au sein de la famille qu’on menace souvent un innocent à la place d’un coupable, en essayant de lui faire porter le chapeau pour les conséquences de ses « actes ». Mais, autre sujet…

Les liens familiaux ne protègent donc pas plus que les liens amoureux ou amicaux. Il est des ignominies, des saloperies et des duperies qui sont impardonnables, sauf à s’orienter dans la résignation ; la voie « facile » pour que tout redevienne comme avant. Comment pardonner à un frère une liaison qu’il a eue avec l’épouse ? À l’épouse d’avoir pris plus de plaisir avec son amant qu’avec son mari ? À un père d’avoir siphonné toutes les économies, durement acquises ? À une mère les horreurs continuelles sur le physique disgracieux de son enfant, regrettant qu’il ne soit pas mort à la naissance ? Rien de tout ça ne peut être pardonné sans compromission et encore moins lorsqu’il n’y a aucun regret, aucun remord, aucune tentative de réparation (pour le peu que ça puisse s’envisager).

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j ai iel compris :sunglasses: vous faite iel

J’ai vu l’émission en replay de : « les temps changent ».
Cela m’a foutue le moral en dessous du 0.
A constater que les personnes victimes n’arrivent pas à se relever.
Rares sont celles qui en réussissent.

Ce matin?..
Sms à ma mère.
Volonté de lui poser des questions familiales.
Prise de conscience que: elle n’est pas éternelle.
Ce n’est pas un fois décédée, qu’elle pourra me répondre…

Je viens d’appeler à l’instant ma mère ce 22-11-2021.
Elle est ravie à m’entendre.
Elle est contre à parler en l’absence de son mari.
Pour elle: il me faudrait venir chez eux, en la présence de ce type.

Ce type qui m’a agressée avec son couteau, en transe, fanatique à 100%, comme quoi: je devais croire en son dieu.
Ce type qui m’a harcelée pour que je me suicide!
Ce type qui depuis toujours, est dans la discrimination et la diffamation avec intention à me nuire.
Ces parents qui ont surpris leur fiston me violer lorsque j’étais: mineure…

J’ai arrêté la communication.
J’ai compris que pour elle, il s’agit de faire respecter: « ses règles de courtoisie ».
Ses principes de bourgeois qui s’appelle: « défendre l’honneur de la famille!!! »

Elle est :déconnectée de la réalité à 100% !!!
Disjonctée à 100% !!!
Une « femme enfant », avec ses principes psycho-rigides de bourges, qui n’a jamais été mature dans sa tête!!!

Volonté ce 22-11-2021 de pouvoir communiquer avec une Maman.
Echos via cette communication téléphonique, que c’est de l’Impossible.
Elle est une Immature. Une Infantile. Une Soumise à son mari. Une Manipulée par son mari…
Soit?..
La génitrice qui m’a mise au monde.
Soit?..
La personne qui a eu l’autorisation de la 5ème République d’effectuer le rôle de Maman sur ses enfants.
Alors que…
Mes parents n’auraient jamais dûs avoir le droit d’excercer le rôle de: « Parent » !!!

Lorsqu’une voisine me l’a dit.
M’a exprimée la différence entre de les termes: « géniteur » et « parent ».
Que j’aurais dûe être placée en famille d’accueil pour être adoptée.
Cela m’a fait du bien !!! ++++
Etre reconnue : victime.
Même si c’est par oral!!!

Secret de polichinel dans le quartier !!!

C’est un tabou dans le quartier…
Il ne faut pas en parler…
Ne pas témoigner au Procureur!!!
Car?..
La justice française est ce qu’elle Est depuis 40/50 ans!!!
Un système de « faux-semblants »:

  • Pas de mise en pratique Effective de la Loi Française à 100% pour Tous et Toutes.
    J’ai compris que les témoins, les confidents, sont autant des « victimes collatérales » que la victime elle même.
    Ils portent en eux, un « poids ».
    Celui de la culpabilité de ne pas pouvoir agir in vivo.
    Au risque d’emmerdes pour eux !!!

Comme me l’a relatée quelqu’un:

  • "pour sauver quelqu’un, il faut d’abord s’assurer de sa propre sécurité. "
    Ce qui revient à écrire à …:
  • « pour faire appliquer la loi, il faut d’abord s’assurer de sa propre sécurité ».
    Hors ?..
    Défience élevée ++++ de ce qu’est la Justice.
    La Justice n’a pas de valeur depuis au moins 45 ans.
    Et, cela va crescendo…

Il faut attendre un Drâme Effectif, pour que …, la Une d’un journal décide à le diffuser.
Ensuite?
Prise de conscience lente.
Lente.

Puis?..
Laisser - aller…
Faire comme si ça n’existe pas …
Laisser passer …
Langue de bois…
Foutage de gueule…

Publicité 12 mois avant des élections, tout à coup, comme quoi: promesses théâtrales!!!
Paroles en l’air …
Puis?..
Une fois les élections passées?..

Rebelote:
Collection de Politique de « Faux Semblants » …

Depuis 40 ou 50 ans … :
Plus ça va ??? …
Plus ça va !!! … … … … !!!

Madame Simone Veil:

  • « Pour gagner une bataille? Il faut d’abord savoir identifier son ennemi ».

Grâce à mes enquêtes sur « la non assistance à personne en danger » dans le quartier:

  • j’ai ENFIN compris !!! …
    L’ennemi est celui qui fait en sorte que la défience Est, SOIT là, et PERSISTE
    L’ennemi est celui qui fait que l’assistance à personne en danger est de ce fait:
  • pas appliquée de façon effective à 100% pour tous et pour toutes .

Politique de : « tape à l’oeil », « foutage de gueule », « langue de bois »…

L’irrespect n’amène pas au respect.
L’irrespect provoque la colère refoulée, la colère sourde, qui croît et va crescendo.

Il me faut arriver à faire le deuil que: j’ai eu une famille « physique ».
Je sais d’où je viens.
Je n’ai pas eu de famille de coeur parmis ces « parents » et cette fratrie.

Je n’arrive pas à faire le deuil.
Ni le pardon.

Ce 22-11-2021?..
Espérance élevée de discuter avec une maman qui est ma génitrice !!!
Râclée psychologique !!!
Elle Est ce qu’elle Est.
Ce n’est pas aujourd’hui qu’elle changera.
Elle Est ce qu’ Est et le Restera à jamais !!!

En ce 22-11-2021?..
Volonté pour elle à se définir d’une victime martyr…
Du fait que je manquerai de respect à ne pas vouloir la voir chez elle, en présence de son époux. … …

Le monde à l’envers !!!
Un monde à l’envers…

Cette génitrice a eu la fonction de Maman.
Soit?..
L’individu censé être mature, autonome et indépendant dans sa tête …
Pour savoir être bienveillant, bientraitant.
Avec sécurité, protection, respect, affection.
Ceci, pour amener une personne mineure, (que cette personne mineure soit son enfant génétique ou non), à ce que la personne mineure puisse savoir être autonome, indépendant, et mature à construire à son tour sa propre vie, une fois arrivée à sa majorité !!!

Savoir.
Pouvoir.
Construire.
Sa propre existence.
Avec sécurité, protection, assurance dès lors…

Là?..
Je suis comme dans un blocage à me prendre en main.
Telle une enfant qui « boude »

Ce samedi?..
J’étais un danger face à moi même!!
Volonté élevée à me foutre en l’air.
Ne plus exister !!!
Etat réflexe à prendre un anxiolytique de 3 mg, et d’aller dans un lieu public.
Un parc.
Histoire à ne pas pouvoir me faire du mal.
Et de là?..
Faire en sorte à ce que ces pulsions baissent.

Je vais mieux là…
Il est 22h15 ce 22-11-2021.

Je me suis dit que ce mercredi: contre-rendu à pôle emploi de mes recherches.
Et…
Qu’il me faut aller prendre de l’air !!
Car ce samedi: je pouvais me foutre en l’air !

Il est presque minuit…
Je vais bigrement mieux depuis ma création de mon post sur M. Coué dans le secteur « discussion ».

Cela fait un copié/collé à l’expression:

  • « le linge sale se lave en famille. »

« Le lâcher prise » de la personne du bus.

Je commence à comprendre son opinion.
Je suis dans une colère élevée, une révolte intérieure qui s’est exprimée alors, depuis 2001 pour dire « stop » et nommer alors à pourquoi dire « stop ».

A l’instant, je me dis que : c’est un cercle vicieux la colère, la révolte.
Et cela provoque des insomnies, de la fatigue, de la difficulté à passer à autre chose…

« Le lâcher prise » serait que j’arrête d’être obnubilée sur ces souffrances.
Prendre le passé tel qu’il a existé.
Avoir réalisé que: quoique j’aurais fait ou non; dis ou non: j’étais vouée être une bouc émissaire.
Cela fait mal!

Moral qui flanche à ne pas avoir de perspective.
Puisque « fichée ».
Puisque: j’ai osé lever des tabous.
Pour que la maltraitance familiale s’arrête dans la famille.
Prévention pour les autres.
Pour qu’ils ne connaissent pas ce que j’ai vécu.

Pour beaucoup: Rancoeurs élevées, que j’ai témoigné!!!
Surtout: pour les personnes de la génération de celle de mes parents-géniteurs.
Soit?..
La génération « où « l’interdit » ne se disait pas sur la voie public », encore moins via un tribunal.
Il était « interdit de dire ce qui se fait sous cap ».
Omerta.
Tabou.
Laisser faire.
Silence.
A chacun sa pomme.
A chacun sa merde.

Depuis peu?..
Levée du tabou pour la génération du XXIème siècle.
« La génération d’avant » se voit alors confronté en son fort intérieur à ce tabou et ces laisser-faire.

En 2018?..
Les étudiants en médecine n’étaient pas toujours instruits sur la pathologie du:

  • « syndrôme de stress post traumatique. »
    Je ne sais pas où cela en est pour 2021…

Pour l’ état français en 2018:

  • le syndrôme de stress post traumatique n’était pas encore reconnu.
    et donc?..
    Pas instruit.

Pour qu’il le soit?..
Alors il faut témoigner que cette pathologie est re’connue, depuis la guerre du Vietnam aux USA.
Et que cette pathologie existe encore et toujours, en 2021, en France.
Même si: volontés de se voiler la face pour la France.

On est en 2021.
Il n’ y a pas de mal à prendre le taurreau par les cornes.
Oser voir « la réalité vérité » en face.
Et de ce fait?..
Reconnaître cette pathologie.
L’étudier.
La considérer.
Elucider des solutions pour la traiter au mieux.

Je pourrais lâcher prise en vivant dans de la sérénité pour mon lendemain.
Et de ce fait?..
Avoir une perspective d’avenir.
Et mettre en application mes projets.

J’ai peur du lendemain.
Par la situation économique actuelle et celle liée à la pandémie.
Par l’expérience du passé.
je suis tétanisée à reconnaître l’équivalent du passé.
Il me faut arriver à me déconditionner.

Insomnies.
Cauchemards.
Que j’essaie de palier par des lectures, ou de la gym douce: la nuit!!!
Pour arrêter de ruminer…

L’écriture est une décharge émotionnelle depuis au moins 2000.